par Nathalie Couilloud - Yvon Le Corre se raconte magistralement à travers ses ouvrages. Dans son L’Ivre de mer, il conte la quintessence d’une vie qui s’écrit depuis l’enfance en lettres capitales, tonnantes et vivifiantes, laissant derrière elle un sillage lumineux. Comme si le marin dessinateur avait cherché à illustrer tout au long de sa longue route la maxime de Saint-Exupéry : « Il faut laisser son rêve dévorer la vie avant que la vie ne dévore son rêve ».
L’article publié dans la revue Le Chasse-Marée bénéficie d’une iconographie enrichie.