Par Sandrine Pierrefeu - Quand le grand pavois est amené, le quatre-mâts russe redevient le navire-école qu'il a toujours été, même au temps du « Magdalene Vinnen » ou du « Kommodore Johnsen », lorsqu'il transportait le blé d'Australie pour ses armateurs allemands. En mer, les cadets ne sont plus à la fête, comme en témoignent ce reportage sur un coup de Nordet en Manche, ainsi que l'article suivant, qui retrace les quatre-vingts ans, de carrière du plus grand voilier du monde.
Réservé aux abonnés
Sedov, le géant : à bord d’un quatre-mâts barque
Publié le 02 septembre 2000
N° 136
LA SUITE DE CET ARTICLE EST RÉSERVÉE AUX ABONNÉS
Les articles de la même revue
Ecosse, Irlande et Bretagne : un bateau de cuir su...
Par Julian Stone, Yann Jagot et Gaëlle Berthelot - Afin de vérifier la vraisemblance des récits de navigations laissés par... Read more
Réservé aux abonnés