Sommaire de la revue parue le 15 mai 2009 :

  • LE DIABLE ROUGE MEXICAIN
    par Erwann Lefilleul
    En mer de Cortés, nom espagnol du golfe de Californie, au large de Santa Rosalia, s’aventure une noria de barques armées par les plus démunis pour un corps à corps avec el diablo rojo, “le diable rouge”, le grand calamar de Humboldt. Portrait d’une communauté de pêcheurs.

  • LE LOUGRE CHALUTIER DU TREPORT
    par Jérôme Maes
    Dans les années 1870, le « bateau flambard » adapté à la pêche harenguière passe du filet dérivant au chalut à bâton. Avec son antique gréement de lougre, il sera détrôné vingt ans plus tard par les « barques chalutières » gréées en sloup.

  • DES & LIZ PAWSON, MATELOTEURS DE PREMIER BRIN
    par Loïc Josse
    Depuis près de trente ans, Des et Liz Pawson ont choisi de vivre de leur passion du matelotage, tout en s’occupant d’une association et en faisant visiter gratuitement leur musée consacré à cet art. Et quand il ne donne pas de cours, Des poursuit ses recherches sur un sujet qui lui ouvre grandes les portes du patrimoine maritime.

  • JEAN-MARIE LE BRIS : L’ENVOL PRECURSEUR D’UN MARIN
    par Guy Lacan et Noël Hénaff
    Lorsque Charles A. Lindbergh — qui réussit en 1927 la première traversée aérienne de l’Atlantique —, voulut rendre hommage aux précurseurs de l’aviation, il cita d’abord Jean-Marie Le Bris, avant Lilienthal et les frères Wright. Pourtant, ce Breton, maître au cabotage de son état, demeure largement ignoré du public.

  • VICTOR BRIX, L’ARCHITECTE AUX MILLE PLANS
    par Georges Auzépy-Brenneur
    Né en Russie en 1890, Victor Brix s’installe en France à l’âge de trente ans. En un demi-siècle de carrière, malgré une éclipse de plusieurs années due à un drame personnel, il a dessiné tous les types de bateaux, avec une prédilection pour les voiliers de plaisance.

  • RENE QUERE, IMAGIER
    par Marie-Haude Arzur
    Douarnenez, terre de peintres. Oui, mais venus d’ailleurs, et parfois d’au-delà de l’Océan. C’est dans ce contexte qu’un jeune homme timide, Douarneniste pur jus, quoique, qui aurait dû se faire pêcheur comme tout le monde, se mit à peindre ce qu’il avait sous les yeux au début des années 1950.