Sommaire de la revue parue en septembre 2004 :

  • LES GOZZI DU GOLFE DE GÊNES
    Conçu pour être halé à terre le long d’un littoral aux abris trop rares, le gozzo était le bateau à tout faire de la Ligurie. Embarcation d’aviron souvent gréée d’une voile latine, il arme à la pêche, au bornage, au lamanage et sert même d’échoppe flottante dans le port de Gênes, sans parler des régates à l’aviron.

 

  • L’ARTIGLIO, CHASSEUR DE TRESORS AU LARGE DE LA BRETAGNE
    En 1924, un armateur italien fonde une compagnie maritime pour récupérer les cargaisons englouties pendant la Grande Guerre. Récit d’une aventureuse chasse au trésor dans les décombres de deux paquebots : l’Elisabethville près de Belle-Ile, supposé receler des diamants, et l’Egypt aul arge d’Ar-Men, contenant des lingots d’or.

 

  • LA RESURRECTION DU RUNAVOUT CAMARGUE
    A raison de trois mille heures de travail, Boris Proutzakoff, véritable orfèvre en la matière, a remis dans son état d’origine — en utilisant moins d’un kilo de bois neuf — un runabout de 1930, qui est sans doute le plus ancien canot automobile français en état de naviguer.

 

  • A BORD DE L’ARMORIQUE, LA REVOLUTION DU BALISAGE FLOTTANT
    Reportage à bord du nouveau baliseur de Brest et enquête sur la mise en place d’un programme de rénovation du balisage flottant de la Manche et de l’Atlantique, mettant en œuvre les « bouées de nouvelle génération » (BNG) dotées de flotteurs en plastique et de lampes à diodes.

 

  • FRANCOIS VIVIER, ARCHITECTE NAVAL
    Pour les constructeurs professionnels comme pour les amateurs, son nom est associé aux plans de fameux canots voile-aviron, comme l’Aber, l’Ilur, l’Aven ou le Seil. Malgré sa modestie, cet architecte aujourd’hui installé à son compte, n’a pas son pareil pour conjuguer la tradition et les techniques modernes de mise en œuvre du bois.