Sommaire de la revue parue le 30 août 2001 :
- MARINE NATIONALE : LE RAVITAILLEMENT A LA MER
Spectaculaires pour le grand public et le jeune marin qui s’y essaie pour la première fois, les manœuvres de ravitaillement à la mer sont aujourd’hui aussi courantes qu’indispensables aux forces navales pour remplir les missions qui leur sont assignées, dans le respect de l’adage du général Eisenhower : « Pas de tactique sans logistique ! ».
- JOEL WHITE, PIONNIER DU REVIVAL AMERICAIN
Disparu voici quatre ans, ce constructeur et architecte naval est l’un des pionniers du renouveau des bateaux en bois aux Etats-Unis. Patron du petit chantier naval de Brooklin, dans le Maine, il révèle son talent lorsque la revue WoodenBoat, établie à proximité, vient le solliciter. Ses bateaux se distinguent surtout par le raffinement de leur esthétique classique et les performances dues à leur carène très équilibrée.
- PÊCHEURS ET PIROGUES DE l’ÎLE MAURICE
A environ mille kilomètres à l’Est de Madagascar s’étend l’archipel des Mascareignes, avec pour îles principales La Réunion, Maurice et sa dépendance Rodrigues. Faisant suite à un premier article consacré aux pirogues rodriguaises (CM 134), ce second volet concerne les pêcheurs régatiers de l’île Maurice et leurs remarquables embarcations, qu’ils engagent régulièrement dans des régates acharnées et extrêmement populaires.
- QUAND ROUEN ETAIT LE PREMIER PORT DE YACHT FRANCAIS
En 1901, Rouen est le premier port de France à avoir été doté d’infrastructures spécialement conçues pour accueillir des yachts. Pourtant, malgré une renommée internationale incontestable, cet équipement disparaîtra dix ans après sa création. Depuis lors, l’implantation d’un port de plaisance n’a cessé de préoccuper les milieux locaux concernés. A l’heure où les loisirs nautiques se substituent de plus en plus aux activités déclinantes liées au commerce ou à la pêche, le port de Rouen apparaît bien à la traîne.
- UNE PÊCHE AU THON A BORD DE BELLE ETOILE
Proche des derniers témoins de la pêche au thon à la voile — activité qui, jusqu’à la fin des années 1930, faisait vivre des centaines de marins et des milliers de femmes du littoral atlantique —, le dundée camarétois Belle Etoile renoue chaque année avec ce passé. Il se rend à l’accore du plateau continental pour traquer le germon en adoptant les techniques d’antan.