Par François Guennoc et Joseph Germe* - A la fin du XIXe siècle, la machine à vapeur se substitue progressivement mais inexorablement à la voile sur les navires de commerce, mais aussi sur les bateaux de pêche. Même si cette mutation y intervient plus tardivement que dans d'autres ports, Boulogne ne fera pas exception à l'arrivée du « progrès ». A côté du cas bien connu des chalutiers, dont la puissance révolutionnera bientôt le métier, les Boulonnais armeront durant plus de soixante ans une bonne centaine de navires d'un type original : les cordiers à vapeur, conçus en particulier pour traquer le congre et le turbot.
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Les cordiers à vapeur de Boulogne
Publié le 02 octobre 2003
N° 164
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