Par François Casalis - Né vers 1830 à Paris, le canotage a connu deux décennies « anarchiques » durant lesquelles la pratique ne répondait à aucun principe ou pouvoir. Il s’agissait alors de s’amuser, se promener, découvrir, rêver, créer, se libérer… un univers qu’ont très bien retranscrit des Maupassant ou des Renoir, ou encore Alphonse Karr, le père spirituel du canotage. Mais dans les années 1850, les canotiers vont apprendre à composer avec les sportifs, pour qui l’aviron est une pratique hygiénique, à bord de bateaux normés, où l’ordre et la discipline s’imposent.
L’article publié dans la revue Le Chasse-Marée bénéficie d’une iconographie enrichie.