Par Michel Duédal - A la fin de l'année 1924, le trois-mâts goélette Raymonde, mouillé sur rade à Saint-Pierre-et-Miquelon, chasse sur ses ancres au passage d'une violente bourrasque, heurte une roche, dérive et finit par faire côte en Baie de Fortune, à Terre-Neuve. Michel Duédal, qui a rencontré deux des survivants, nous livre le récit de cette nuit d'hiver. Aujourd'hui, l'aspect économique et technologique de la Grande Pêche l'emporte souvent dans les analyses consacrées à ce métier. Celui-ci demeure pourtant une aventure maritime renouvelée à chaque campagne, dans des parages incroyablement hostiles. Les hommes du Victor Pleven sont les héritiers directs des marins de la Raymonde.
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Le naufrage de la Raymonde
Publié le 02 juillet 1985
N° 18
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