Par Jean-Marie Depagne - Pris dans une succession de coups de vent en février 1884 au large du Golfe de Gascogne, Jean-Marie Depagne et son équipage doivent abandonner le Mari-Vihan, désemparé au point de sombrer. Un siècle plus tard, Pierre Depagne, capitaine au long cours lui aussi, n'a pas oublié le brick-goélette familial. Le petit Carantec avec lequel il navigue à la plaisance s'appellera Mari-Vihan à son tour. Le rapport de mer rédigé par son ancêtre, abonné aux lignes d'Afrique et d'Amérique Centrale, nous dépeint dans le détail cette fortune de mer.
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L’abandon du Mari-Vihan
Publié le 02 septembre 1984
N° 12
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