Par François Guennoc, Bertrand Louf - Les rares voitures qui stationnent le dimanche dans les rues désertées de Capécure, le quartier des industries maritimes de Boulogne, appartiennent aux sorineurs. Pas de trève dominicale pour ces travailleurs venus entretenir les feux des corresses. Car à Boulogne on fume encore le hareng comme il y a un siècle, comme il y a un millénaire. Une trentaine d'entreprises y perpétuent la tradition sans pour autant tourner le dos à la modernité. Du poisson, un peu de sel et de fumée, beaucoup de savoir-faire : la saurisserie est un métier.
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La saurisserie boulonnaise « A chacun sin pain et s’n’hérin »
Publié le 02 octobre 1989
N° 44
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