Par Laurent Damonte - II y a peu de temps, la Marie Félicie, dernière tartane de l'Estaque, a coulé dans le port de Marseille. Est-il vraiment trop tard pour sauver cette belle coque ? Dernier représentant d'une tradition millénaire, n'aurait-elle pas mérité une parcelle des efforts déployés pour la sauvegarde du patrimoine archéologique sur le littoral méditerranéen ? Au moins reste-t-il un homme pour en parler avec amour et honorer sa mémoire.
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La Marie Félicie Mémoire de le dernière tartane de l’Estaque
Publié le 02 janvier 1983
N° 006
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