Par Charles Madézo - Aimer la mer, cela commence souvent tôt. Fils de marin pêcheur, Charles Madézo a grandi sur le port de Douarnenez dans l'immédiat après-guerre. Pendant l'été, c'est encore le "Treizour" le passeur - qui ramène à la godille les équipages des sardiniers. Les odeurs fortes de rogue, de congres et de raies emplissent l'air des quais. Les journées du jeune Charles s'écoulent dans une liberté enivrante. L'eau verte est son royaume; les canots sont à tous... "La Cale ronde", récemment publié aux éditions Calligrammes, restitue fidèlement l'atmosphère de ces heures inoubliables.
Réservé aux abonnés
La Cale ronde
Publié le 02 juillet 1986
N° 24
LA SUITE DE CET ARTICLE EST RÉSERVÉE AUX ABONNÉS
Les articles de la même revue
Nordic Odyssey, la route des glaces
Davide Monteleone - Les navigateurs du XVIIe siècle en rêvaient… le réchauffement climatique et les brise-glace nucléaires russes l’ont fait. La route... Read more
Réservé aux abonnés
Ports de plaisance, la fin d’un modèle
Le Vieux-Port, vu depuis
le quai de la Fraternité
au pied de la Canebière,
est emblématique
de la ville de Marseille.
Tous les ports de
plaisance ne bénéficient
pas d’une telle histoire
et certains ont plus
de mal à s’intégrer
dans la ville. © CAMILLE MOIRENC/HEMIS.FR
Réservé aux abonnés