Par Erwann Lefilleul - Vaste marais aux charmes sauvages et mystérieux, la Brière est un pays à part, mi- terrestre, mi-aquatique, véritable petite mer intérieure, mais dont les marées auraient adopté le rythme des saisons. Aujourd'hui délaissée au profit d'une nature triomphante, elle accueillait jadis une communauté fluvio-lacustre qui sut tirer de ce terroir sa maigre subsistance. Coupeurs de roseau, récolteurs de tourbe, éleveur , pêcheurs et chasseurs n'avaient alors de cesse de sillonner curées et gravières à bord de leurs chalands ou de leurs blins.
Réservé aux abonnés
La Brière : en terre et mer
Publié le 02 mars 2002
N° 150
LA SUITE DE CET ARTICLE EST RÉSERVÉE AUX ABONNÉS
Les articles de la même revue
Les barques du Léman
Par Jean-Philippe Mayerat - Tout à la fois frontière et trait d'union, rempart naturel contre les invasions et voie royale... Read more
Réservé aux abonnés
Les yoles rondes de la martinique
Par Nicolas Millot - Plus stable que le gommier, la yole ronde est utilisée par les pêcheurs martiniquais jusqu'à la... Read more
Réservé aux abonnés