Par Jean-Yves Poirier - Iconoclaste, gourou, libertin, marginal… James Wharram n’a cessé tout au long de sa vie de collectionner les étiquettes que la bonne société a toujours su coller sur ceux qui la dérangent. Mais, à quatre-vingt-quatre ans révolus, il reste ce qu’il a toujours été : un homme libre.
L'article publié dans la revue Le Chasse-Marée bénéficie d'une iconographie enrichie.