Par Roland Mornet - Soudaines et violentes, les tempêtes d'été sont particulièrement redoutables ; elles peuvent, en effet, surprendre au large des équipages dont la vigilance est prise en défaut, du fait de la relative rareté du phénomène (environ une fois par décennie). Le 12 juillet 1961, le thonier vendéen "Jean-Pierre Alain", en fuite devant le temps, est capelé par un terrible coup de mer. Roland Mornet — aujourd'hui capitaine d'un des navires de l'Ifremer (cf Le Chasse-Marée n° 57) — qui était novice à bord de ce bateau, raconte cette expérience vécue, et replace ce dramatique événement de mer dans son contexte humain et technique.
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Gros temps en juillet
Publié le 02 décembre 1992
N° 69
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