par Jean-Yves Béquignon - Les fortunes de mer ne sont pas une fatalité. Quand survient un accident, les membres du Bureau d’enquêtes sur les événements de mer (BEA mer), reconstituent les faits, les analysent et émettent des recommandations pour éviter qu’ils ne se reproduisent. Du naufrage de l’Erika en 1999 au drame de La Belle Angèle en 2017, retour sur la création de cette entité et découverte du processus d’enquête. L’article publié dans la revue Le Chasse-Marée bénéficie d’une iconographie enrichie.
Réservé aux abonnés
Dans les coulisses des enquêtes avec le BEA mer
Publié le 12 septembre 2018
N° 298
LA SUITE DE CET ARTICLE EST RÉSERVÉE AUX ABONNÉS
Les articles de la même revue
André Aversa, un charpentier devenu modéliste
par Pierre Nocca - Après avoir vendu son chantier naval à Sète, André Aversa constate que son métier de charpentier est... Read more
Journal d’un timonier
par NIKOS KAVVADIAS - Traduit du grec par Françoise Bienfait - Illustré par Gildas Flahault - Nikos Kavvadias embarqua à l’âge de dix-huit... Read more