Sur le pont arrière du Frédéric-Carole,
par gros temps, les marins s’apprêtent
à virer le chalut. En haut à gauche,
Elie Kergozien commande les treuils des
funes reliées aux panneaux qui permettent
de maintenir ouverte la gueule du chalut
sur le fond. Ces câbles de 900 mètres
permettaient de travailler par 300
à 400 mètres de fond. « On mettait à l’eau
toujours trois fois la profondeur », précise
Bernard Noury, mécanicien à bord
du Frédéric-Carole.
UNE MARÉE SUR UN PÊCHE-ARRIÈRE LORIENTAIS
Photographies de Félix Le Garrec et textes de Maud Lénée-Corrèze – Au milieu des années 1970, le photographe Félix le... Read more
Réservé aux abonnés