par Jean-Yves Béquignon - Créée en 1975, l’association qui allait devenir Amerami possède une collection de quatre-vingt-cinq bateaux, du sous-marin à la yole d’aviron ou au gommier martiniquais. En les confiant à des exploitants, elle permet d’en faire naviguer une quarantaine qui, sans son intervention, auraient sans doute disparu. Selon les règles d’Amerami, ces unités doivent « témoigner de leur époque » et « donner envie de faire bon usage de la mer ». Elles y parviennent, assurément.
L’article publié dans la revue Le Chasse-Marée bénéficie d’une iconographie enrichie.